jeudi 3 novembre 2016

Sardaukars, Titres, Ordres et récompenses



Sardaukars, Titres, Ordres et récompenses
  Parmi les sardaukars fiers et féroces, les médailles et autres récompenses restaient une méthode de base pour inculquer la fierté de l’unité pour assurer que les soldats ne s’épargneraient aucun effort en combat et pour garantir l’obéissance  dans les circonstances les plus éprouvantes. Donc, l’implication de la moyenne des sardaukars était totale dans l’histoire de leur unité, les décorations de cette unité était un objectif constant d’intérêts, et un soldat décoré gagnait une mesure de respect, ils n’accordaient pas d’intérêt à n’importe quel étranger, quel que soit son grade. Toutes les décorations des sardaukars étaient accordées par l’Empereur et elles étaient remises par lui personnellement. Un prix pouvait être décerné dans un domaine ou pour une campagne, par un commandant sardaukar de rang suffisant, mais il n’était pas officiel jusqu’à ce que l’Empereur le valide.
  Les décorations sont à classer en trois catégories générales : les titres et Ordres de distinctions, les médailles et les insignes.
  Les décorations et les insignes les plus courants sont répertoriés ici par ordre de préséance.

Titres et Récompenses


C’était l’ultime titre de distinction et il était attribué à tous les grades pour un acte de dépassement de soi et d’héroïsme. Les bénéficiaires se voyaient également attribuer la Médaille des Etoiles en Grappe et l’Ordre du Héros Impérial. Seuls 80 soldats la reçurent dans toute l’histoire du titre, et il n’y eu qu’un seul cas où la personne reçut le titre plusieurs fois.

La Médaille des Etoiles en Grappe
Elle n’était décernée qu’aux récipiendaires du titre de Gardien de l’Empire. La médaille d’argent était portée sur un ruban blanc sur noir autour du col, et était toujours affichée sur le devant de la tunique



Décernée à la retraite ou après le décès, en reconnaissance d’une carrière exemplaire, en plus d’être récompensé par le titre de Gardien de l’Empire.


Reçut pour un courage exemplaire sur le champ de bataille et un service exemplaire à un poste de commandement. Cet Ordre était également attribué, parfois, à des unités entières, et accordait ainsi à chaque homme dans l’unité les privilèges dus à cet honneur, le droit de l’afficher (et ce indépendamment des transferts ultérieurs dans d’autres unités) et désignait l’unité comme « Gardienne de l’Empereur » tant que les destinataires originaux étaient encore en vie.


Attribué à des membres su haut commandement des sardaukars, pour des conquêtes réussies sur des planètes entières. Il était porté sur la poitrine, à droite, à la  gauche de toutes les autres distinctions.


Il se déclinait en trois classes. Attribué aux officiers à tous les niveaux pour leur commandement exceptionnel, leurs capacités organisationnelles et leur persévérance, ayant conduit à une victoire décisive dans la bataille. Les trois classes étaient :
-          Diamant : pour les commandants de légions et les chefs d’opération à l’échelle planétaire ;
-          Rubis : pour les chefs de régiments et les commandants de bataillons ;
-          Emeraude : pour les commandants de compagnies.


Donné aux commandants d’opérations qui infligeaient de lourdes pertes à n’importe quels ennemis, tout en préservant l’état de préparation de combat des forces du commandant. L’opération n’avait pas besoin d’aboutir à une victoire.


Attribué à des commandants de n’importe quelle unité, supérieure à un peloton, pour bravoure personnelle et habile direction des troupes au combat.


Décerné individuellement à tous les grades et collectivement à des unités pour des performances exceptionnelles en action. Une unité honorée de cette récompense était répertoriée comme une unité de « Gardes » tant qu’un des destinataires d’origine demeurait vivant.




Décerné individuellement et collectivement pour des performances exemplaires dans les zones de non-combat, vitales pour l’appui des troupes de combat. 

Décerné aux sous-officiers pour des actions spectaculairement valeureuses au combat. Cet ordre se déclinait en trois classes, selon la nature de l’action mise à l’honneur.

Les médailles

Décernée à tous les grades pour bravoure personnelle au service de l’Empereur. C’était l’une des rares médailles qui pouvait être attribuée à des non-combattants, et se déclinait en trois classes :
-          1ère classe : aux officiers ;
-          2ème classe : aux militaires de rang ;
-          3ème classe : aux civiles.

Décernée  à tous les rangs pour avoir fourni une contribution matérielle à la réussite d’une opération, en prenant des risques personnels anormalement élevés.


Elle se décline en 6 catégories, attribuée pour les 10, 20, 30, 40, 50 et 75 ans de service exemplaire dans les forces actives.

Chaque campagne qui impliquait plus d’une légion de troupes, avait une médaille de campagne correspondante. Elles sont beaucoup trop nombreuses pour être énumérées ici.


Les insignes
Les insignes étaient attribués à des militaires de tous grades pour pointer le statut, les réalisations et la maîtrise des armes.


Porté par tous les membres d’une unité désignée comme « Agent de l’Empereur ». Ceux qui étaient attachés à l’unité au moment où la désignation était proclamée pouvaient continuer à porter l’insigne, quelle que soient les affectations ultérieures, mais ce personnel transféré portait l’insigne sur le revers au lieu de sur l’épaule, où les gardes de l’Empereur, actifs, le portaient.


Portée par tous les membres d’une unité désignée comme « Gardiens », les conditions sont les mêmes que pour l’insigne des Gardes de l’Empereur, ci-dessus.

L’insigne de compétence
Gagné en attestant d’une compétence exemplaire dans un certain nombre d’arts militaires, y compris l’utilisation d’armes, la réparation de matériel et ainsi de suite.



Elles sont classées de « sérieuses » ou « Mineures », même si le classement est trompeur, comme le sardaukar n’était pas censé être blessé, aussi longtemps qu’il était en mesure de continuer à se battre. Une bande magenta indiquait une blessure « grave » et une bande « bleu foncé rayé » une blessure « mineure ».

W.D.I.

Autres références :
-          Sardaukars, Uniformes des ;
-          Otto Aramsham, La grève des sardaukars, tr. Sir Daiwid Gwilivz (Kaitain : Varna).

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