Sardaukars,
Titres, Ordres et récompenses
Parmi
les sardaukars fiers et féroces, les médailles et autres récompenses restaient
une méthode de base pour inculquer la fierté de l’unité pour assurer que les
soldats ne s’épargneraient aucun effort en combat et pour garantir l’obéissance dans les circonstances les plus éprouvantes.
Donc, l’implication de la moyenne des sardaukars était totale dans l’histoire
de leur unité, les décorations de cette unité était un objectif constant
d’intérêts, et un soldat décoré gagnait une mesure de respect, ils n’accordaient
pas d’intérêt à n’importe quel étranger, quel que soit son grade. Toutes les
décorations des sardaukars étaient accordées par l’Empereur et elles étaient
remises par lui personnellement. Un prix pouvait être décerné dans un domaine
ou pour une campagne, par un commandant sardaukar de rang suffisant, mais il
n’était pas officiel jusqu’à ce que l’Empereur le valide.
Les décorations sont à classer en trois catégories générales : les
titres et Ordres de distinctions, les médailles et les insignes.
Les décorations et les insignes les plus courants sont répertoriés ici
par ordre de préséance.
Titres
et Récompenses
C’était l’ultime
titre de distinction et il était attribué à tous les grades pour un acte de
dépassement de soi et d’héroïsme. Les bénéficiaires se voyaient également
attribuer la Médaille des Etoiles en Grappe et l’Ordre du Héros Impérial. Seuls
80 soldats la reçurent dans toute l’histoire du titre, et il n’y eu qu’un seul
cas où la personne reçut le titre plusieurs fois.
La
Médaille des Etoiles en Grappe
Elle
n’était décernée qu’aux récipiendaires du titre de Gardien de l’Empire. La
médaille d’argent était portée sur un ruban blanc sur noir autour du col, et
était toujours affichée sur le devant de la tunique
Décernée à la
retraite ou après le décès, en reconnaissance d’une carrière exemplaire, en
plus d’être récompensé par le titre de Gardien de l’Empire.
Reçut pour un
courage exemplaire sur le champ de bataille et un service exemplaire à un poste
de commandement. Cet Ordre était également attribué, parfois, à des unités
entières, et accordait ainsi à chaque homme dans l’unité les privilèges dus à
cet honneur, le droit de l’afficher (et ce indépendamment des transferts
ultérieurs dans d’autres unités) et désignait l’unité comme « Gardienne de
l’Empereur » tant que les destinataires originaux étaient encore en vie.
Attribué à des
membres su haut commandement des sardaukars, pour des conquêtes réussies sur
des planètes entières. Il était porté sur la poitrine, à droite, à la gauche de toutes les autres distinctions.
Il se déclinait en
trois classes. Attribué aux officiers à tous les niveaux pour leur commandement
exceptionnel, leurs capacités organisationnelles et leur persévérance, ayant
conduit à une victoire décisive dans la bataille. Les trois classes
étaient :
-
Diamant :
pour les commandants de légions et les chefs d’opération à l’échelle
planétaire ;
-
Rubis :
pour les chefs de régiments et les commandants de bataillons ;
-
Emeraude :
pour les commandants de compagnies.
Donné aux
commandants d’opérations qui infligeaient de lourdes pertes à n’importe quels
ennemis, tout en préservant l’état de préparation de combat des forces du
commandant. L’opération n’avait pas besoin d’aboutir à une victoire.
Attribué à des
commandants de n’importe quelle unité, supérieure à un peloton, pour bravoure
personnelle et habile direction des troupes au combat.
Décerné
individuellement à tous les grades et collectivement à des unités pour des
performances exceptionnelles en action. Une unité honorée de cette récompense
était répertoriée comme une unité de « Gardes » tant qu’un des
destinataires d’origine demeurait vivant.
Décerné
individuellement et collectivement pour des performances exemplaires dans les
zones de non-combat, vitales pour l’appui des troupes de combat.
Décerné aux
sous-officiers pour des actions spectaculairement valeureuses au combat. Cet
ordre se déclinait en trois classes, selon la nature de l’action mise à
l’honneur.
Les
médailles
Décernée à tous
les grades pour bravoure personnelle au service de l’Empereur. C’était l’une
des rares médailles qui pouvait être attribuée à des non-combattants, et se
déclinait en trois classes :
-
1ère
classe : aux officiers ;
-
2ème
classe : aux militaires de rang ;
-
3ème
classe : aux civiles.
Décernée à tous les rangs pour avoir fourni une
contribution matérielle à la réussite d’une opération, en prenant des risques
personnels anormalement élevés.
Elle se décline en
6 catégories, attribuée pour les 10, 20, 30, 40, 50 et 75 ans de service
exemplaire dans les forces actives.
Chaque campagne qui impliquait plus d’une
légion de troupes, avait une médaille de campagne correspondante. Elles sont
beaucoup trop nombreuses pour être énumérées ici.
Les
insignes
Les insignes étaient attribués à des
militaires de tous grades pour pointer le statut, les réalisations et la
maîtrise des armes.
Porté par tous les
membres d’une unité désignée comme « Agent de l’Empereur ». Ceux qui
étaient attachés à l’unité au moment où la désignation était proclamée
pouvaient continuer à porter l’insigne, quelle que soient les affectations
ultérieures, mais ce personnel transféré portait l’insigne sur le revers au
lieu de sur l’épaule, où les gardes de l’Empereur, actifs, le portaient.
Portée par tous
les membres d’une unité désignée comme « Gardiens », les conditions
sont les mêmes que pour l’insigne des Gardes de l’Empereur, ci-dessus.
L’insigne
de compétence
Gagné
en attestant d’une compétence exemplaire dans un certain nombre d’arts
militaires, y compris l’utilisation d’armes, la réparation de matériel et ainsi
de suite.
Elles sont
classées de « sérieuses » ou « Mineures », même si le
classement est trompeur, comme le sardaukar n’était pas censé être blessé,
aussi longtemps qu’il était en mesure de continuer à se battre. Une bande
magenta indiquait une blessure « grave » et une bande « bleu
foncé rayé » une blessure « mineure ».
W.D.I.
Autres
références :
-
Sardaukars,
Uniformes des ;
-
Otto
Aramsham, La grève des sardaukars, tr. Sir Daiwid Gwilivz (Kaitain :
Varna).
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