mardi 3 novembre 2015

Azhar, Le livre d’



Azhar, Le livre d’ (aussi appelé La Collection des Grands Secrets).
  C’est une compilation du Bene Gesserit, de mythes et dogmes religieux, il prétend contenir toutes les variantes des théologies pratiquées par les sentiments connus dans l’histoire de l’univers. Le mot « Livre » est un peu trompeur, bien que des sélections venant de la Collection, en volumes reliés, soient disponibles pour les étudiants à la Bibliothèque Bene Gesserit sur Wallach IX, et quatre volumes ont été publiés. Dans son ensemble, cependant, Le Livre d’Azhar est une collection sans fon qui occupe plusieurs salles des Archives Bene Gesserit et est indexé là-bas en 42 volumes. Dans  la collection figurent les histoires des Dieux et Déesses, de chaque description et inclinaison, les figures tutélaires des multiples environnements, les rituels effectués depuis la nuit des temps de l’ancienne Terre et sur les rives de la planète perdue Lauvant, un recueil de toutes les tentatives de concilier le chaos universel et l’amour né de l’ordre.
  Bien que traditionnellement la collection est censée avoir été assemblée pendant la période de la Commission des Traducteur Œcuméniques (afin de préserver les secrets des religions anciennes et à servit de source pour la Bible Catholique Orange), les éléments de preuve découverts à Dar-es-Balat et les informations communiquées récemment par le Bene Gesserit indiquent que la collecte avait commencée dans les Bibliothèques de l’Ancienne Terre, depuis longtemps oubliées, qui pourraient être les ancêtres lointains de la Communauté des Sœurs. Des travaux récents suggèrent également que le Livre d’Azhar a été mis à jour et qu’il inclut désormais les religions pratiquées maintenant.
  L’utilisation réelle d’une telle collection est ouverte au débat. Bien que les autorités du Bene Gesserit insistent pour que la collection soit conservée pour des raisons académiques, afin de fournir un recueil d’œuvres théologiques disponibles pour les savants, philosophes et théologiens, plusieurs enquêtes récentes indiquent un but plus égoïste. Le Livre d’Azhar est probablement la principale source de matériel  pour les projets de « génie religieux » pour la sororité. Des plus anciennes traditions, la Communauté des Sœurs a mis au point des méthodes et des légendes adaptées à des populations primitives, un processus qui, à son tour, a établi de nouvelles religions, toutes en faveur du Bene Gesserit. Le Livre d’Azhar est à un historien en théologie ou mythologie, ce qu’un gouffre de mille mètres est à un géologue, une tranche qui montre l’accumulation en couches complexes de matériel à travers le temps.
  Bien que les anthropologues et les mythologues, ainsi que les linguistes de toutes variétés, apprécient particulièrement la valeur académique de la collection, le Bene Gesserit a une autre utilisation pour le Livre d’Azhar. Toutes les traditions particulières et les rituels de la Communauté des Sœurs y figurent. Par exemple, las variations de la Cérémonie Bene Gesserit de « l’eau de vie » ont été enregistrées à travers le temps et les paramètres régionaux, comme l’évolution auxiliaire de cette cérémonie dans les cultures primitives, Fremen ou Meso Quechuas. Le premier volume donne des réglementations et des interdictions de service, avec des entrées comme « abomination », « kwisatz haderach » et « rite de menstruations » soigneusement délimitées. Parce que la majeure partie de la collection n’est pas disponible pour les étudiants, seuls les mythes, les légendes et les rituels décrits dans les volumes reliés ont été établis. Ce petit échantillon indique cependant aux chercheurs les vastes richesses en attente dans les recoins sombres des Archives Bene Gesserit.

Autres références :
-          Anon, le Livre d’Azhar, ed. K.R. Barauz, vol. 1-4, études d’Arrakis (Grumman : les Mondes Unis) ;
-          Maro Ghappato, Voix Miraculeuses à Rakis (Diana : Synonyme) ;
-          RM Cassius Ida Treac, De nouvelles vues de l’ancien système, Archives, revue trimestrielle de 15 : 199-253 ;
-          RM Treac et Ahna Judehic, Les racines de demain (Wallach : sonor).

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